L’écriture de Jean-Jacques Marimbert s’apparente à celle d’un géographe qui pratique le voyage immobile dans le souvenir. Souvenir qu’il convoque...
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L’écriture de Jean-Jacques Marimbert s’apparente à celle d’un géographe qui pratique le voyage immobile dans le souvenir. Souvenir qu’il convoque à ses sens, investit comme un lieu, habite en le meublant de sons et d’odeurs comme il garnit la ville qui accueille l’errance de son narrateur, dont la focale subjective est fixée à l’entrée du texte sur un homme endormi au sol.