A ma soeur, Elisabeth Le Crom, décédée d'une maladie orpheline après dix ans de combat. Mes mots habités la rejoignent, J'ai la sensation qu'ils...
Lire la suite
A ma soeur, Elisabeth Le Crom, décédée d'une maladie orpheline après dix ans de combat. Mes mots habités la rejoignent, J'ai la sensation qu'ils m'échappent. Je suis aussi la traductrice Des maux de ma chère maman. Sublimation à hauteur de douleur. Une fleur qui souffre est encor plus belle ; Est-ce pareil en poésie ? "Tu n'arrêteras plus d'écrire" dit Yvon.