" Fabrice avait un cœur italien ; j'en demande pardon pour lui ; ce défaut, qui le rendra moins aimable, consistait en ceci : il n'avait de vanité...
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" Fabrice avait un cœur italien ; j'en demande pardon pour lui ; ce défaut, qui le rendra moins aimable, consistait en ceci : il n'avait de vanité que par accès, et l'aspect seul de la beauté sublime le portait à l'attendrissement, et ôtait à ses chagrins leur pointe âpre et dure ".
Edition présentée et commentée par Pierre-Louis Rey, professeur de littérature française à l'université de la Sorbonne Nouvelle (Paris III).