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Une jeune femme scandinave s'installe à Florence où tout lui semble étranger et écrasant : les toits de tuiles, les tours des églises, l'homme qu'elle a rencontré. Elle se dit qu'elle vient d'une région trop froide, et qu'il pourrait être celui qui réchauffera la terre gelée en elle. La Prise du diable est l'histoire de cette femme, de son corps et de son esprit. Du pouvoir qu'elle a sur l'homme qu'elle tente de changer, et du pouvoir de plus en plus fort qu'il exerce sur elle.
Dans un récit haletant et dérangeant, Lina Wolff nous entraîne au coeur des mécanismes de l'emprise, et sonde la folie misogyne déguisée en normalité de notre société contemporaine.
Bouleversant !
Un roman nécessaire, dérangeant, macabre... mais fort.
Une jeune femme surnommée Minnie s'installe à Florence en Italie. Celle qui vient des pays scandinaves peine à s'acclimater. Elle s'accroche à une histoire d'amour toxique. Au début, de manière malsaine, elle va insuffler de la confiance et de l'assurance à un monstre qui va se révéler violent et possessif.
C'est un livre sur la misogynie, la toxicité, les violences, le diable en lui-même.
L'histoire d'une femme battue et vulnérable qui n'arrive pas à se défaire de l'emprise d'un homme comme elles le sont tant.
Merci à Lina Wolff de prendre si bien les tripes, de retourner le ventre et le cerveau et d'avoir le pouvoir de bouleverser autant avec l'écriture.