En réchappant de la campagne de Norvège, ce croiseur accéda dans la marine française au rang de mythe collectif. Navire amiral filant à 40 nœuds,...
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Résumé
En réchappant de la campagne de Norvège, ce croiseur accéda dans la marine française au rang de mythe collectif. Navire amiral filant à 40 nœuds, avec ses 125 000 ch, il eut la chance de transporter à deux reprises, de Brest à Halifax, l'or de la Banque de France au cours de la débâcle, ce qui le préserva tant de l'opération " Catapult " que du sabordage contre la perspective duquel l'équipage se révolta : " On ne pouvait pas couler un tel bateau... " René Auque et Paul Carré, avec la précieuse collaboration des hommes du " Bertin ", nous apportent un témoignage irréfutable sur cette période trouble, propice à une réécriture infidèle de l'histoire. La transcription par ceux qui ont vécu ces événements permet de balayer toutes sortes d'interprétations, plus ou moins fantaisistes, survenues au fil du temps.
Sommaire
Le baptême du feu pendant la campagne de Norvège
Comment le croiseur "Émile Bertin" devient un "galion" moderne
Le croiseur "Émile Bertin" et l'opération "CATAPULT "
Le croiseur "Émile Bertin" en long séjour aux Antilles
Le croiseur "Émile Bertin" dans les eaux de la mer des Caraïbes
Disposition prises pour faire patienter l'équipage
L'orientation politique de Vichy amène les USA à immobiliser le croiseur "Émile Bertin"
Création du "Front de mer Sud"
Réaction de l'équipage après le débarquement allié en Afrique du Nord et le sabordage de la flotte à Toulon
Les départs en dissidence
Ralliement des Antilles à la France Combattante
Le croiseur "Émile Bertin" se remet en état de partir aux États-Unis pour modernisation avant la reprise des combats