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Une variation sur un des sujets préférés de Thomas Bernhard : le littérateur philosophique. Ici nous sommes dans un bled du fin fond de l'Autriche et le directeur d'une troupe ambulante attend le début d'une représentation de sa pièce : La Roue de l'Histoire. Méchant, notamment à l'égard des Autrichiens et du théâtre - une perversité millénaire -, le faiseur de théâtre est une véritable machine à injures.
Mais à la fin, lorsque le public préfère quitter la salle pour assister à l'incendie du presbytère, et que la pluie commence à percer le plafond, un attendrissement et une compassion vis-à-vis du personnage se font sentir.