Le 31 décembre au matin, en sortant du village nous avons aperçu Anaïs dans un pré qui surplombe la route. J'ai baissé ma vitre pour la saluer. Elle...
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Le 31 décembre au matin, en sortant du village nous avons aperçu Anaïs dans un pré qui surplombe la route. J'ai baissé ma vitre pour la saluer. Elle est très sociable et pourtant elle vit seule. Elle n'ira pas danser cette nuit là-haut sur la colline, mais je parierais bien qu'un petit air d'accordéon ne serait pas pour lui déplaire.