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Et, petit à petit, nuit après nuit, de celle de la pensée où j'étais, de sa ténèbre obscure, de ce ciel de la philosophie accroché, suspendu au-dessus de ma tête, sont tombées, les unes après les autres, une foule d'étoiles filantes qui sont venues, et je ne sais comment, sans que je puisse savoir d'où, car c'est là le propre de la pensée de ne pouvoir savoir comment elle vous tombe dessus, - l'éclairer, cette nuit, comme autant de lanternes magiques, et, dès lors, peu à peu, et sans savoir comment, j'ai pu avoir des lumières sur tout.