Aucune mort n'est venue d'un poème, il progresse, tu le suis. De lui ru n'auras rien à craindre. Maintenant comme à l'aube, l'air qui l'aimante, qui...
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Aucune mort n'est venue d'un poème, il progresse, tu le suis. De lui ru n'auras rien à craindre. Maintenant comme à l'aube, l'air qui l'aimante, qui en émane, sera ton vrai visage,
tu diras " nous " après le vers ultime
la marche à travers les jardins ou l'estuaire communique l'éveil intarissable
avec les vents pour que les vents redoublent.
Pierre Dhainaut