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"Une histoire de la littérature en fonction des consensus qu'elle désespère à travers les âges serait à faire. On y croiserait les niaiseries de chevalerie (le kitsch du XVIe siècle, ce que lisaient les midinettes de l'époque) mises à mal par Cervantès, ou encore l'obscénité sulpicienne parvenue à son plus haut degré et démolie par Sade. On y trouverait Molière en train d'affliger le parti dévot. Et aujourd'hui quoi ? Quelles images "fédérantes" et intimidantes ? Notre Télébazar de la charité, probablement, avec sa légitimité quotidiennement renouvelée par l'audimat.
Notre parti dévot à nous."