Ma mère, musicienne, est morte de maladie maligne à minuit, mardi à mercredi, au milieu du mois de mai mille977 au mouroir memorial à Manhattan - Grand Format

Louis Wolfson

Frédéric Martin

(Préfacier)

Note moyenne 
La littérature française contemporaine compte un écrivain, d'origine américaine, dont le premier texte fut découvert et défendu avec ardeur... Lire la suite
19,00 € Neuf
Expédié sous 3 à 6 jours
Livré chez vous entre le 27 août et le 30 août
En magasin

Résumé

La littérature française contemporaine compte un écrivain, d'origine américaine, dont le premier texte fut découvert et défendu avec ardeur par Raymond Queneau et J.R. Pontalis, publié aux éditions Gallimard avec une préface de Gilles Deleuze, acclamé par des sensibilités aussi différentes que celles de Paul Auster, J. M. G. Le Clézio ou encore Michel Foucault, qui invoquèrent tour à tour D.A.F.
de Sade, Lautréamont et Raymond Roussel. Bref, en 1970, faisait sensation avec la parution de son livre Le Schico et les langues. Depuis, sa trace s'était un peu perdue. Le voici de retour

Caractéristiques

  • Date de parution
    03/05/2012
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-917084-47-2
  • EAN
    9782917084472
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    301 pages
  • Poids
    0.362 Kg
  • Dimensions
    14,0 cm × 20,0 cm × 2,0 cm

Avis libraires et clients

Avis audio

Écoutez ce qu'en disent nos libraires !

À propos de l'auteur

Biographie de Louis Wolfson

Louis Wolfson est ne en 1931 aux Etats-Unis. Précocement diagnostiqué schizophrène, il est placé durant son adolescence, par sa mère, dans des instituts psychiatriques où il subit des traitements violents, notamment par électrochocs. Cette période lui laissera une rancune et une méfiance particulières vis-à-vis de l'espèce humaine, mais aussi une détestation radicale de sa langue maternelle, dont il refuse l'usage.
Il apprend des langues étrangères (notamment le français, l'allemand, l'hébreu et le russe) et s'habitue à traduire spontanément dans un sabir de toutes ces langues, selon un procédé d'une extrême sophistication, ce qui lui est dit en anglais. Il adresse en 1963 un manuscrit à Gallimard où il expose, en français, les principes de son système linguistique et l'usage quotidien I qu'il en fait.
Le Schizo et les langues est publié en 1970 et connaît d'emblée un immense succès critique, notamment grâce à une préface de Gilles Deleuze. Sept ans plus tard, en 1977, la mère de Louis Wolfson meurt des suites d'une tumeur ovarienne. L'auteur, libéré de toute tutelle, quitte New-York et s'installe à Montréal. Il y entreprend d'écrire la chronique des derniers mois de leur vie partagée, marquée par l'agonie de sa mère et, chez lui, par une pratique obsédante des paris hippiques.
Le texte, Ma mère, musicienne, est morte..., retrouve la langue sidérante du Schizo et les langues, son humour, mais se charge aussi du drame de la maladie. Publié en 1984 par les éditions Navarin, le texte, bien que culte, était devenu introuvable. Louis Wolfson en a établi une nouvelle version durant l'année 2011, à Porto Rico, où il vit depuis 1994.

Vous aimerez aussi

Derniers produits consultés

Ma mère, musicienne, est morte de maladie maligne à minuit, mardi à mercredi, au milieu du mois de mai mille977 au mouroir memorial à Manhattan est également présent dans les rayons

19,00 €