Accueillir l'inouï. Ne plus craindre le brouillon, tout ce qui laisse dans l'éphémère une marque jeune comme l'ongle d'un amant dans la pulpe d'un...
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Accueillir l'inouï. Ne plus craindre le brouillon, tout ce qui laisse dans l'éphémère une marque jeune comme l'ongle d'un amant dans la pulpe d'un index bientôt caressant. A l'origine de ce texte, un poème de Henri Michaux, La ralentie.