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Au moins l'équivalent de 20 plans Marshall, dont près de douze entre 2005 et 2018, ont été mis à disposition de l'Afrique subsaharienne depuis 1960, sous forme d'investissements directs étrangers (IDE), de transferts de fonds des diasporas africaines et d'aide publique au développement (APD), tous trois pouvant titre considérés comme des apports d'aide au sous-continent. Pourtant, cette région reste la plus pauvre du monde.
A quoi donc pourrait servir un nouveau 3plan Marshall" pour le sous-continent ? Au terme d'une investigation approfondie ayant permis de constater le montant précité, les caractéristiques de chacun de ces flux montrent que si les transferts des diasporas représentent un apport d'argent de 100 % aux bénéficiaires, privés ou publics, il n'en va pas de mËme de l'aide publique au développement. Quant aux investissements directs, effets et impacts sont particulièrement mitigés.
Un second tome est plus précisément consacré à l'exemple de l'aide publique au développement de la Commission européenne en Afrique subsaharienne, afin d'approcher la manière dont l'APD d'un donateur majeur fonctionne. Une recherche exceptionnelle 0 mettre entre toutes les mains, simultanément fondée sur une abondante littérature et plus de trente années d'expérience de l'auteur dans ce domaine.