Si l'on s'arrête dans le poème, la musique s'interrompt. Sans rythme, la phrase perd son souffle, à la fin ses mots.
Que les nuages s'amoncellent,...
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Si l'on s'arrête dans le poème, la musique s'interrompt. Sans rythme, la phrase perd son souffle, à la fin ses mots.
Que les nuages s'amoncellent, que le sommet, qui devrait être visible, ne le veuille, qu'il faille descendre, qu'importe
tout peut désormais arriver : le bleu comme une déchirure du ciel.
J.-D. Chéné