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Et s'il n'en restait qu'un, de chaque courant, Monet pour l'impressionnisme, Cézanne pour la "peinture-peinture", Picasso pour le cubisme, Matisse pour le fauvisme... jusqu'à Marcel Duchamp pour la clôture, avant les reprises fulgurantes de Klein, de Warhol, de Basquiat et la chute du rideau ? Tel est le pari audacieux de Pierre Nahon, qui, après avoir défendu toute sa vie ses artistes, et pas des moindres, Dado, Klossowski, Dufour, mais aussi Tinguely, César, Arman, Spoerri, Niki de Saint Phalle et bien d'autres, a entrepris de refaire l'histoire de l'art aux dépens de ses contemporains.