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"Balayeur. Le 12 juin, il y a exactement un an, une bouteille de gaz explose sur la place du marché. Vingt - quatre morts, dont sept enfants en excursion scolaire. D'abord, on pense à un attentat à la bombe. Mais ensuite, on s'aperçoit que c'est une bouteille de gaz qui a fui. Le propane est inodore tout comme l'accident. La souffrance en est-elle moins grande ou précisément insupportable ? Un acte terroriste a au moins quelque chose d'héroïque.
Mais bon, le résultat est le même : des os brisés, une chaise roulante et des tonnes, des tonnes de chagrin."