Je ne vois presque rien ; le papier que je coupe est moite ; la montagne est presque cachée par son surplis blanc ; Les mots se calment et retrouvent...
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Je ne vois presque rien ; le papier que je coupe est moite ; la montagne est presque cachée par son surplis blanc ; Les mots se calment et retrouvent leur assiette ; L'air plus chaud que la peau ; je sors enfin ; ce n'est pas moi qui taille ces rues ; tout existe si fort et loin que je peux lâcher ma main ; dehors je ne vois presque rien.