" Tout ça on l'a vécu, jusqu'au bout de la nuit, jusqu'au bout de la joie. En ville, au bar, à table ou en tribune, jamais seuls. A grands coups d'un anglais de cuisine ou d'un espagnol de contrebande, avec moult gestes, quelques dessins, beaucoup de sourires et trois tapes dans le dos, Yougoslaves, Iraniens, Chiliens, Autrichiens, Espagnols, Paraguayens, Ecossais, Marocains, Hollandais, Mexicains, Anglais et Argentins sont venus. La fête est finie, les héros sont fatigués, mais quelque part, ils ne sont pas tout à fait repartis. On s'en souviendra longtemps. "
Nous reste le désir de revivre ces moments de liesse, nous reste le talent de photographes qui venus d'horizons multiples, redonnent à l'événement son histoire, " révèlent ", avec brio, l'image d'une ville, Saint-Etienne, à travers la fête populaire qu'est le football.