Garth Ennis fait ses débuts de scénariste dans le célèbre magazine britannique 2000 AD. Ce sont justement, des épisodes de Judge Dredd qui poussent l'éditeur américain DC/Vertigo à lui confier Hellblazer. Ennis écrit la série jusqu'en 1994 et en fait un titre culte. Il cocrée ensuite Preacher avec Steve Dillon. Cette histoire du pasteur Jesse Custer qui part à la recherche de Dieu à travers les Etats-Unis a récemment donné lieu à une série télévisée à succès.
Chez Marvel, il revisite le personnage du Punisher dans la collection MAX. Sa version adulte et sans concession inspire la production homonyme diffusée sur Netflix. Le scénariste est à l'origine de Crossed chez Avatar. On lui doit également The Boys dans laquelle on découvre les aventures hyper-violentes d'un groupe d'antihéros chargés de repousser une menace planétaire : les super-héros. La série télévisée tirée de la bande dessinée, réalisée par Amazon Studios, est l'un des programmes les plus regardés sur la plateforme.
Steve Epting se fait connaître en 1989 grâce à l'éditeur First Comics. Dès 1991, il rejoint Marvel et hérite d'un des titres les plus emblématiques de la Maison des Idées, Avengers, qu'il dessine pendant plus de trois ans. Il s'illustre également sur X-Factor et The X-Men, avant de mettre en images Superman et Aquaman pour DC Comics. En 2005, il retrouve Marvel et relance Captain America avec Ed Brubaker.
Ils en profitent pour créer au passage le personnage du Soldat de l'Hiver qui deviendra un pilier des aventures cinématographiques des Avengers. Puis, Epting assure la partie graphique du titre Fantastic Four, alors écrit par Jonathan Hickman. Il refait équipe avec Brubaker sur Velvet, une série d'espionnage publiée par Image. Dernièrement, il a contribué au renouveau de Batwoman sous l'égide de DC.
Inspirée d’une histoire vraie
Un très bon titre du comics de genre historique !
1942. La guerre semble interminable contre “ces porcs de nazis”. On compte sur le groupe de snipeuses pour faire la différence face à l'ennemi et en finir.
Parmi elle il y a Sara, qui touche toujours juste. Son regard est un prisme : sur la guerre, sur le régime soviétique. Qui touche.