Scènes de la vie d'un propre à rien - Poche

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Joseph von Eichendorff - Scènes de la vie d'un propre à rien.
L'équivalent de Schubert en littérature : aussi simple d'apparence, et non moins déchirant pour finir... Où l'on est convié à suivre, d'une déconvenue... Lire la suite
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Résumé

L'équivalent de Schubert en littérature : aussi simple d'apparence, et non moins déchirant pour finir... Où l'on est convié à suivre, d'une déconvenue à l'autre, parfois d'un fragile bonheur à l'autre, les pérégrinations hasardeuses d'un jeune homme sans qualités (un propre à rien) dont l'unique talent consiste à rêvasser au long des chemins du vaste monde, livré aux bizarres caprices de sa fantaisie... La fantaisie du Voyageur... Aucun texte, c'est sûr, ne donne de la belle formule rêvée par Schubert un plus juste écho. Bien que figurant parmi les plus beaux romans de la littérature allemande du XIXè siècle, les Scènes de la vie d'un propre à rien d'Eichendorff occupent chez nous une place inexplicablement négligée. On prend pourtant à lire ces pages baignées de discrète nostalgie le même plaisir qu'à écouter telle mélodie du Voyage d'hiver.

Caractéristiques

  • Date de parution
    15/09/2004
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-7529-0019-8
  • EAN
    9782752900197
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    156 pages
  • Poids
    0.14 Kg
  • Dimensions
    12,5 cm × 18,0 cm × 1,0 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Joseph von Eichendorff

Les Allemands n'ont pas oublié Eichendorff émouvant représentant de la dernière génération romantique (celle qui écrira, pour l'essentiel, après Hoffmann). Les Editions Carl Hanser, mettant sur pied après la dernière guerre une collection de " classiques " aujourd'hui quasi légendaire, lui réservaient d'emblée l'une des premières places de leur panthéon. On se souvient, outre-Rhin, que le doux Eichendorff (1788-1857), qui mena une vie sans tapage, inspira Mendelssohn. Schumann, Brahms, Hugo Wolf et quelques autres, tous empressés à déposer pieusement leur musique au pied de ses vers - lesquels chantaient déjà fort bien sans cela. Il le leur rendit de grand cœur, lui qui rêva d'une littérature où se fondraient la fiction, la poésie et le chant, et qui toujours plaça la musique au premier rang des arts supposés élever l'âme des hommes(...)

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