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Un magnifique livre qui retrace sous forme de récits biographiques, les histoires de soldats, les évènements oubliés ou tout simplement inconnus.
On sent tout le travail de recherche et d'écriture qui est à l'œuvre. Laissez-vous emporter dans leurs histoires qui ont marqué notre Histoire.
Deuxième livre de cette série qui retrace les récits de soldats, qui par leurs actes ont combattu l'ennemi désigné. Des actes courageux qui font d'eux des héros aujourd'hui, mais qui à l'époque ne l'étaient pas forcement.
Plongez au cœur de ces histoires qui ont marqué la nôtre envers et
contre tous; surtout contre l'oubli et le désir de les effacer.
Qui de l'œuf ou le dragon est apparu en premier ?
Dans cet essai, partez à la découverte de la naissance et de l'évolution des créatures dites fantastiques, qui nourrissent aujourd'hui notre pop-culture.
Amitié : "sentiment réciproque d'affection ou de sympathie qui ne se fonde ni sur la parenté ni sur l'attrait sexuel." Une autre facette de l'Amour, pourrait-on dire.
Alice Raybaud, au travers de témoignages, nous propose des réflexions sur la place que l'on donne dans notre société à nos amitiés.
Une place qu'il faudrait peut-être repenser : et si l'Amitié devenait le centre de notre société, de notre quotidien... pour le meilleur, il faut l'espérer !
Ceci est un témoignage de toute une époque; de presque 10 ans de lutte pour le droit à l'IVG.
Annie Chemla nous embarque dans le récit intime de sa vie de militante, ainsi que de celles et ceux qui ont lutté pour un droit qui nous parait, aujourd'hui, faire parti du paysage et tout à fait naturel.
Laissez
Annie vous raconter le quotidien dans l'illégalité, le rejet, les désillusions de la Loi Veil ; mais aussi et surtout, le partage, la bienveillance, les soins et l'accompagne pour ces femmes, le bonheur souvent.
C'est l'histoire de celles et ceux qui ont lutter, et pour qui aujourd'hui Annie Chemla fait entendre sa voie, quand nos droits sont ainsi remis en question, quand leur combat est ainsi bafoué !
"Un enfant, si on veut, quand on veut!"
L'histoire d'un français tombé amoureux du Japon au travers des vieux films nippons et qui y a vécu pendant plus de 30 ans.
Entre moments forts, intégration compliquée, un société aussi intrigante qu'imparfaite; venez plongez au cœur du Japon des années 90 jusqu'à aujourd'hui au travers des
yeux de Florent Dabadie. 140 pages qui défilent en un instant!
C'est l'histoire de Vanessa, qui décide en 2016 de prendre un aller simple pour Tokyo. Coup de folie ou coup de génie, peu importe car elle nous plonge dans sa folle aventure: intégration et relation avec les japonais et leur société codifiée!
Plongez dans les méandres des relations aux autres
au Japon au travers du regard curieux -et parfois perplexe- de Vanessa!
June Fujiwara nous emmène en balade dans cette capitale qui la vue grandir, mais aussi dans son quotidien d'expatriée : entre nouvelles découvertes, rencontres au gré d'un café ; elle décortique pour nous la culture tokyoïte si différente et semblable à la fois de la culture nipponne.
On se
sent touriste avec elle, quand elle ne reconnaît plus sa ville (où est passé le distributeur à vœux!), mais on a aussi l'impression de "reconnaître" un chez-soi, quand elle retrouve ses vieilles amies ou encore quand sa nature tokyoïte se réveille.
Venez donc plonger avec douceur et délice au cœur de Tokyo. Pas d'inquiétude, notre guide connaît la route !
Jérôme Schmidt est connu pour ses documentaires mais aussi pour ses guides sur le Japon.
Ici, nous l'accompagnons en voyage avec un ami pour découvrir le pays du Nord au Sud. Au fils des étapes, il remarque l'arrêt systématique de ce dernier dans un konbini, arrêt presque vital pour tous les
étrangers mais qui est aussi un syndrome très japonais.
Partons donc à la découverte du Japon grâce aux konbinis, ces supérettes ouverte 24h/24 7j/7, lieu catalyseur de l'essence japonaise et de la vie des quartiers.
Dans ce livre, on plonge à la découverte du quotidien des classes ouvrières immigrées au début des années 80.
Au travers des yeux naïfs d’une petite fille des quartiers, partons en quête d’un ange gardien. Serait-ce le ‘Passeur de cassettes’ ? Cette douce personne qui permet de garder
le lien avec l’autre continent. Ou bien la ‘caftanière’ ? Souveraine dans l’art des splendides caftans uniquement !
Mais attention, il faut beaucoup de courage pour faire face à des ennemis comme le ‘Profespion’ ou encore l’armée de Père Noël de l’Usine !
Dans certaines cultures, pleurer un mort plus longtemps que nécessaire est très mal vu, car cela pourrait le changer en "mauvais esprit". C'est pour cela que Jennifer Kerner ne parle pas de J., son mari de nuit, à l'étranger; car même si cela fait plus de 15 ans depuis ce jour, Jennifer continue
de le pleurer, de le voir, de lui parler.
C'est au travers de ces souvenirs doux-amer, qu'elle nous entraine dans un voyage des différents deuils et cultures funéraires, une douce ballade de la Mort vue par les Hommes de partout.
Un véritable roman anthropologique de la Mort.
Au travers des yeux, des pensées et de la voix d'Abe Sada, l'auteur nous entraine au cœur de cette affaire criminelle qui a défrayé les médias japonaises à la fin des années 40.
Mais pas uniquement ! Nous sommes plongés dans le quotidien d'une prisonnière japonaise : de son procès à sa libération.
Les sentiments et les émotions les plus intimes d'Abe Sada nous transportent aussi au cœur de la société et de la mentalité nippone (d'avant et d'après Guerre).
Laissez-vous envouter par cette sordide histoire d'amour : "simple obsession amoureuse" ou "véritable perverse nymphomane" ?
Ne vous êtes vous jamais posé cette question : pourquoi je crois ? Qu’est-ce qui fait que l’Humain croit ?
Fréderic Lenoir a fait le tour de cette question et vient nous apporter une vision historique, sociologique, philosophique et religieuse.
Un ouvrage plus que complet sur la question du
sacré et de la croyance, sans parti pris !
Début des années 90, un nouveau vent souffle sur les Etats Unis et bientôt sur le reste du monde ! Et ce vent se nommera très vite Riot Grrrl ! Menées par leur cheffe de file Kathleen Hanna, de jeunes féministes s'emparent de la musique punk pour enfin être sur le devant de la scène, et faire ainsi parler de leur cause ! Le livre que vous tenez entre vos mains vous propose ainsi d'explorer l'histoire de ce rugissement américain, à travers les figures les plus emblématiques du Riot Grrrl, tel que Bikini Kill, Bratmobile ou encore Sleater Kinney !
Le dernier ouvrage en date de cette magnifique collection chez Larousse, "La 1ere guerre mondiale par les cartes" saura présenter les aspects essentiels du conflit aux curieux mais aussi intéresser les plus passionnés grâce à son approche originale. En effet, les cartes permettent un point de vue global sur les avancées des troupes et la situation des batailles sur le terrain.
Suite à l'incendie de Lubrizol, usine classée Seveso au pied de laquelle se trouve une aire de gens du voyage, William Acker a tenté de dénoncer le racisme révélé par la situation géographique de ces aires.
On lui a dit qu'il n'avait pas de preuves.
Pas de preuves ? En voilà, des preuves
! Après une histoire de l'antitziganisme à la française et un bon cours de droit, l'auteur nous dresse l'inventaire critique des aires, situées en zones industrielles, polluées, isolées... Un livre important et nécessaire.
Découvrez ce travail hors pair de cet éditeur qui se focalise sur l'histoire du bassin minier. Un très grand soin est apporté tant sur le texte que sur l'iconographie tout simplement magnifique!
Un vrai bijou dans une bibliothèque!
Ce court essai complètement loufoque est à lire d'une traite ! Ne vous fiez pas au ton naïf du narrateur, vous apprendrez tout un tas d'anecdotes sur le XXème siècle à travers les guerres et les mentalités de l'époque.
Si vous vous retrouvez dans l'absurde de Jarry ou Queneau, vous adorerez
aborder l'Histoire avec Ourednik !
La considération, pour Corine Pelluchon, c'est cette forme d'humilité qui nous rappelle que nous sommes dépendants de cette nature que nous poussons à bout, par le simple fait que nous en sommes une part. En faisant preuve de considération pour ce qui nous entoure, nous ne penserons plus à asservir
les autres car nous aurons pris conscience de notre vulnérabilité.
Ce changement de perception, s'il a lieu, est celui qui nous permettra de relever nos défis écologiques.
Une riche introduction aux grands concepts de la philosophie, abordés par le prisme des sensibilités de leurs auteurs.
Ces pages d'aphorismes noircies de sarcasmes et d'amertume vous feront perdre foi en l'humanité, si ce n'est pas déjà fait. Délectable !
Présent sur Youtube sous le nom de "Monsieur Phi", c'est toujours avec passion et humour que Thibaut Giraud aborde les grandes questions philosophiques. c'est encore le cas ici, où il s'amuse des petits travers des philosophes pour en vulgariser efficacement les concepts.
Une très chouette introduction
!
C'est au sortir de la seconde guerre mondiale, lorsque Cioran est contraint de fuir la Roumanie pour échapper au stalinisme, qu'il compose ce premier livre en français alors qu'il s'est installé à Paris.
La foi y tient une grande place. Désabusé par les événements récents, ses réflexions
nous apparaissent maintenant étonnement modernes.
A l'opposé de la pensée pessimiste, Leibniz expose sa Théodicée : Dieu étant bon et parfait, le monde tel qu'il est est donc le meilleur des mondes possibles. Nos maux sont les conditions mêmes du bonheur, et tout événement tragique est justifié par Leibniz comme nécessaire et en fin de compte
bénéfique à un système qui nous dépasse.
Moqué par Voltaire avec son célèbre Pangloss, l'optimisme de Leibniz peut paraître naïf ; il pose cependant des réflexions intéressantes sur la grande importance que l'Homme donne à sa vie, en cela ses propos sont résolument actuels.
Dans ce court essai, Clément Rosset décortique cette tendance que nous avons à réarranger la réalité quand celle-ci ne nous convient plus. Nous nous inventons facilement une "double réalité", plus commode, moins culpabilisante. C'est une erreur selon le philosophe, car le réel a toujours raison et constitue notre présent, ce qui nous pousse finalement à occuper deux réels à la fois, et c'est peut-être cela le pire. Dans la lignée du divertissement de Pascal, Clément Rosset nous rappelle que nous sommes toujours à tenter de nier une vérité inacceptable, sur laquelle nous n'avons que si peu de prise.
Dans ce court essai, Clément Rosset décortique cette tendance que nous avons à réarranger la réalité quand celle-ci ne nous convient plus. Nous nous inventons facilement une "double réalité", plus commode, moins culpabilisante. C'est une erreur selon le philosophe, car le réel a toujours raison et constitue notre présent, ce qui nous pousse finalement à occuper deux réels à la fois, et c'est peut-être cela le pire. Dans la lignée du divertissement de Pascal, Clément Rosset nous rappelle que nous sommes toujours à tenter de nier une vérité inacceptable, sur laquelle nous n'avons que si peu de prise.
Après l'excellent Les grandes oubliées de l'Histoire, Titiou Lecoq revient avec un livre autour de l'argent et du couple. Cassant le mythe de l'égalité salariale, revenant sur la notion de charge mentale et les inégalités au sein des couples hétéros, on y apprend que si l'on savait déjà que la femme, depuis la nuit de temps, se fait avoir, c'est toujours le cas aujourd'hui même si l'on en a pas toujours conscience. C'est passionnant, frais, pertinent, un livre à mettre dans toutes les mains ! De quoi se poser des questions sur notre quotidien !
Avant d’aborder le livre en lui-même, il me semble intéressant d’évoquer le parcours de l’auteur. Aurélien Berlan avait déjà publié en 2012 le remarquable essai La Fabrique des Derniers Hommes (La Découverte) qui n’était autre que le texte remanié de sa thèse de philosophie. On apprend
dans son nouveau livre, Terre et Liberté, que, juste après la remise de sa thèse, cet étudiant engagé, passé de l’altermondialisme à la critique de la société industrielle, veut fuir le statut de salarié-consommateur-électeur dans lequel la plupart d’entre nous s’enferme après leurs études et, pour cela, décide de prendre la clé des champs avec quelques amis pour vivre dans le Tarn. Depuis une dizaine d’années maintenant, il se partage entre activités collectives de subsistance, travaux à l’université, engagement politique et écriture de ce livre, Terre et Liberté.
La liberté, c’est ce qui semble avoir provoqué cet exode rural et le questionnement de l’auteur qui est à la base de son livre : en quoi cet exode l’a-t-il rendu plus libre ? Quelle conception de la liberté a-t-il fui ? Quelle conception de celle-ci recherchait-il ?
Engagé dans la lutte contre le désastre socio-écologique en cours, il va montrer dans ce livre que ce désastre est en grande partie la conséquence du concept de liberté dominant l’imaginaire politique depuis quelques centaines d’années maintenant et que, pour s’y opposer véritablement, il faut retrouver une autre conception de la liberté.
Pour sa démonstration, Berlan procède de manière claire et logique. Tout d’abord, il entreprend, à travers l’analyse de différents textes, la généalogie de la conception moderne de la liberté dont il souligne un paradoxe immanent. En effet, devenue dominante depuis le 18e siècle cette conception purement libérale et négative de la liberté est réduite à l’inviolabilité de la sphère privée. Seulement cette conception, qui a été théoriquement généralisée et intensifiée avec le développement de la civilisation industrielle, a été en même temps sapé par cette même civilisation et ses moteurs, à savoir : le salariat, la marchandisation, les médias de masse et aujourd’hui la révolution numérique.
Étant donné cela, qu’est-ce qui anime encore le concept moderne de liberté ?
Berlan entre là dans le cœur du livre en identifiant un autre pilier, plus fondamental, de la liberté moderne : ce qu’il appelle le fantasme de délivrance. Délivrance des obligations politiques (déjà bien analysée par Hannah Arendt) mais surtout délivrance matérielle des nécessités du quotidien c’est-à-dire cette capacité à faire faire à d’autres (humains ou robots) les tâches qui caractérisent notre humaine condition (produire sa nourriture, construire son habitat, prendre soin de ses proches,…).
Un des aspects originaux du livre est d’analyser l’importance de ce fantasme dans notre conception apolitique et extraterrestre de la liberté. Car, en effet, il est au cœur aussi bien de la liberté moderne que des aspirations à l’émancipation qui ont émaillé la société depuis la révolution industrielle. Ainsi, de Saint Simon jusqu’à Mélenchon, en passant par Marx bien sûr, toute une partie, dominante, de la gauche s’est nourrie de ce fantasme, emprisonnant encore plus les populations qu’elle défendait dans le carcan capitaliste. Or cette aspiration à la délivrance matérielle a des implications simples à comprendre. Si être libre c’est « faire faire » alors, pour paraphraser Orwell, « la liberté c’est l’esclavage » et l’Histoire en témoigne. De l’antiquité à nos jours, les classes dominantes ont toujours su se décharger, à l’aide d’un pouvoir personnel puis impersonnel, des nécessités du quotidien en exploitant les classes dominées (esclaves, femmes, paysans, ouvriers,…) et en exploitant et saccageant la nature à l’aide des moyens technoscientifiques modernes.
Dès lors Berlan réhabilite avec brio une autre conception de la liberté, qu’il appelle autonomie, et qui a animé le mode de vie de classes populaires tout au long de l’Histoire (des Diggers anglais du 17e siècle au mouvement zapatiste aujourd’hui). L’auteur souligne la récupération libérale qui a été faite du terme autonomie, individualisé et dépolitisé (cf. mouvement DIY, « makers », …) pour bien distinguer sa définition de l’autonomie. La sienne est sociale et collective et s’articule sur deux plans indissociables. Le plan politique d’abord où il s’agit de reprendre en main dans des collectifs à taille humaine la prise de décision concernant les affaires communes. Mais Berlan insiste surtout sur le plan matériel de l’autonomie où là aussi la dimension collective est essentielle car, si l’autonomie suppose de « faire soi-même », elle suppose surtout de « faire avec les autres ». Plus précisément, il s’agit de « pourvoir à ses propres besoins » (qui seront auto-limités) avec « ses propres moyens » (outils simples et à taille humaine) et avec « ses propres ressources » (celles du territoire habité). L’autonomie que Berlan dessine est, selon lui, la seule voie réaliste pour se libérer (collectivement) de notre dépendance à la Mégamachine industrielle (dont les trois têtes sont l’Etat, le Capital et la Science) et stopper l’exploitation des autres et de la nature que son bon fonctionnement suppose.
Avec cet essai percutant et stimulant, Aurélien Berlan signe un ouvrage riche d’analyses permettant de mieux saisir « dans quelle sorte de monde nous vivons » (Orwell). En cela, il réussit déjà, intellectuellement parlant, à desserrer l’étau industriel : première étape avant, on ne sait jamais, de prendre la clé des champs.
Soixante-dix ans après les faits, il peut sembler impossible d'imaginer retrouver des hypothèses aussi plausibles concernant le ou la responsable de la rafle de l'Annexe. Une immersion totale se crée avec les enquêteurs lors de la lecture et chaque piste ou indice est décortiqué dans les moindres
détails.
En plus d'apporter une nouvelle lumière sur les deux enquêtes précédemment réalisées sur la rafle, ce récit historique nous plonge dans cette période glaçante de la Seconde Guerre Mondiale et le quotidien de milliers de Juifs à travers le monde, et plus particulièrement à Amsterdam.
Oubliez tout ce que vous pensez savoir sur l'histoire d'Anne Frank et sa famille. Cette enquête, inédite et d'une grande qualité reprend absolument tous les témoignages, tous les éléments d'enquêtes réalisées depuis la fin de la guerre afin de trouver enfin la réponse à la question que tout le monde se pose : Qui a trahi Anne Frank ? A l'aide de documents inédits retrouvés aux quatre coins du globe et de témoignages de descendants qui n'avaient jamais pris la parole, ce livre passionnant est LA référence sur le sujet !
Le sujet des relations humaines est inépuisable, de part la diversité des comportements humains justement. Cet essai tente d’analyser nos interactions et notre responsabilité dans nos rapports humains. Intéressant
Nul n'a peut-être mieux décrit les tumultueux rapports politiques ayant cours en France qu'un Italien de la Renaissance. MACHIAVEL, dans le Chapitre IX du "Prince", détaille les relations entre les trois acteurs qui se partagent nécessairement l'échiquier d'un royaume ou d'une république : le peuple, le prince, les grands. Á (re)découvrir pour apprécier une leçon de MACHIAVEL faisant figure de clé pour l'histoire de France.
N'avez-vous jamais été rêveur en visionnant la série Viking ou Rome, vous disant "si ca se trouve, un de mes ancêtres était là" ? Un test génétique par-ci, des fouilles généalogiques par là, avec toujours ce fantasme de l'origine en tête : des rêveries personnelles aux preuves scientifiques, ce livre apporte une synthèse complète sur le mythe d'un peuple, d'une langue communes aux cultures européennes. Le regard critique et exhaustif de l'auteur offre des réponses tout en dévoilant de nouveaux chemins vers une réflexion riche sur la question. Un merveilleux condensé pour un si vaste sujet !
Et quelle histoire ! Oubliez tout ce que vous pensez savoir sur la place des femmes dans l'Histoire. Titiou Lecoq rebat les cartes et remet le patriarcat à sa place ! Passionnant, cet essai nous apprend énormément sur le rôle des femmes dans les sociétés, de la préhistoire à aujourd'hui. Je ne peux que vous en recommander la lecture ! Les Grandes oubliées de l'Histoire est LE cadeau à mettre sous le sapin !
Question sérieuse évidemment… Titiou Lecoq ne connaît pas la réponse mais explore de façon très documentée notre histoire et permet d’avoir quelques cartes en main pour mieux comprendre et faire évoluer ce fait… très intéressant et très constructif !!
Dans ce recueil de témoignage, nous rencontrons brièvement dix mères qui regrettent d'être devenue mère. Ce livre pose clairement le poids, la pression sociale, familiale et même professionnel concernant le rôle d'une femme, le but présupposé ultime à engendrer, mettre au monde.
J'ai beaucoup
aimé cette approche pour désacraliser la position de la femme en tant que mère, cette envie supposé inné d'une femme à vouloir devenir mère. Après il faut faire attention à ne pas automatiquement associer le regret au manque d'amour de ladite mère; ce que beaucoup d'entres elles soulignent. Leurs regrets n'a rien avoir avec l'amour qu'elles portent à leurs enfants. Malheureusement cela arrive mais ce n'est pas la question. Le plus important c'est d'essayer de comprendre d'où ce regret vient-il? Et pour cela, le recueil introduit très bien le début de conversation.
J'aurai souhaité que le livre aille plus loin, plus en profondeur mais il réussi déjà à poser une vraie question sur un mal-être trop longtemps passé sous silence.
Un récit court mais néanmoins puissant, révoltant portant en message d'espoir malgré cette guerre qui fait rage dans le Congo oriental depuis 1996, une guerre qui continue à être passé sous silence, une guerre qui a déjà fait 6 millions de mort au Congo oriental et dont les femmes sont les plus touchés. Une guerre qui semblent vouloir les anéantir, les briser à jamais. Dieu merci il y a des êtres humains tel que le Dr Denis Mukwege pour faire un travail extraordinaire, pour aider Tatiana et toutes les femmes qui ont dû subir et continue de subir la violence des hommes en temps de guerre mais aussi en temps de paix.
Documenté, intéressant, révoltant. Un ouvrage inspirant pour commencer à s'informer sur la lutte féministe et ses enjeux et particulièrement la place que la société offre et parfois impose aux femmes.
Accessible à tous et pour tous.
Gros coup de coeur pour ce livre de vulgarisation remarquable, drôle et qui donne envie de lire les livres des historiens et historiennes cités. Un livre indispensable pour toute personne qui s'intéresse à l'Histoire des femmes mais aussi à l'Histoire tout court, parce que les femmes ont toujours fait l'Histoire et qu'il est temps de s'en rappeler. Je l'ai dévoré!
Un texte classique sur le féminisme, spécifiquement comment le manque d'inclusion de toutes parts impacte les femmes noires.