Mon dieu… je ne sais même pas par quoi commencer tellement je suis chamboulée, retournée, bouleversée ! Il y a tellement de choses à dire à propos de ce livre, et moi, je perds mes mots face à la profondeur de ce qu’il m’a fait ressentir.
On retrouve Ethan et le reste de la section avant les événements présents à la fin du tome 3. Le phénix, malgré la rancœur qui l’accompagne quand il pense à son âme sœur, ne peut empêcher l’attirance entre eux de s’imposer. Aziliz est amnésique, elle l’a oublié, lui, mais aussi tout ce qui fait partie d’elle.
Mais le monde n’attend pas que le moment soit opportun pour s’effondrer, Ethan et Aziliz vont devoir affronter bien des choses pour empêcher l’apocalypse de frapper.
J’ai été tellement heureuse de retrouver la section et la plume de l’auteure ! L’humour est toujours là, et l’intrigue palpitante ! J’ai plongé dans ce livre que j’ai totalement dévoré, incapable de le lâcher, voulant tout savoir tout en étant en même temps angoissé, car je savais que ce tome sonnerait la fin cette aventure incroyable. L’intrigue reprend quelque temps avant ce que nous avons vu à la fin du tome précédent, mais cela ne cause pas de répétition, non, on apprend mieux comment nous en sommes arrivés là, certains moments ou Amy n’était pas présente, et beaucoup de choses qui nous aident à comprendre le cheminement du scénario.
Aziliz est un personnage qui m’a captivé et touché par de nombreux points. Si au début on a du mal à la découvrir surtout à cause des calmants qui permettent de garder ses pouvoirs sous contrôle, on découvre vite la complexité de cette jeune femme à la vie bien difficile. Aziliz veut vivre, elle refuse d’être simple spectatrice de sa vie et de rester enfermée dans ce corps sans pouvoir penser par elle-même. C’est plus qu’un besoin, cela devient une nécessité, et c’est ce qui va la changer par bien des côtés. Elle va devoir renouer avec son passé, mais aussi avec ses dons, et apprendre à vivre avec les séquelles que la vie lui a laissées. Je me suis énormément attaché à cette jeune femme incroyablement touchante et émouvante qui a conquis mon cœur, autant par sa douceur que par son courage.
Et puis, nous avons Ethan. S’il est le blagueur de la Section à la langue bien pendue, on va découvrir ici bien d’autres facettes de cet homme, qui vont nous faire changer notre vision des choses. On le découvre plus sombre, plus sérieux. S’il garde toujours cette touche d’humour, on apprend à découvrir l’homme derrière le masque qu’il a appris à porter. Le passé a façonné ce qu’il est devenu et sa façon de voir son âme sœur, mais aujourd’hui, voir celle-ci amnésique, n’ayant aucun souvenir de lui et ne pouvant l’approcher est une torture sans nom pour lui. Il va devoir pourtant l’aider à retrouver qui elle est, car l’enfer n’attendra pas qu’ils soient prêts pour se déchaîner sur terre. Ethan va devoir faire des choix entre accepter ce passé tragique qui les lie et pardonner Aziliz, ou continuer à nourrir cette rancœur et cette haine qui le poursuit depuis des années et fait barrage à l’amour qu’il ressent pour elle.
L’intrigue est incroyablement ficelée, amenée d’une main de maître, gérée comme un orchestre et sans aucune fausse note. Chaque détail a son importance et on découvre peu à peu où l’auteure veut nous amener, grâce aux miettes qu’elle éparpille sur le chemin de la Section. Elle nous guide à l’aveuglette sur une route qu’on ne peut qu’imaginer et dont on ignore la destination. Elle réussit une fois de plus l’exploit d’innover, car il n’y a rien de commun ici avec les tomes précédents, ni avec rien d’autre de ce que j’ai pu lire dans ce style ! Charlie Genet nous envoûte et nous capture avec ce scénario fascinant qui nous rend incapables de décrocher. On devient prisonnier de ce livre fabuleux dont l’intensité ne fait qu’augmenter au fil des pages ! L’émotion m’a submergé et chamboulé pendant toute ma lecture, et il me serait impossible de compter le nombre de larmes versées !
En conclusion, ce livre est un diamant d’une beauté aussi époustouflante que bouleversante, un joyau du genre. L’auteure nous malmène autant que ses personnages et nous suivons le rythme impitoyable du courant qui nous ballotte dans une mer déchaînée. Les personnages m’ont émue, touchée, ont rendu mon cœur captif de leurs destinées. Un dernier tome qui amène cette série à son sommet pour nous faire décoller et observer le final explosif que l’auteure a su donner à un univers d’une puissance phénoménale. Je ne sais dire si mon cœur se remettra de la fin de cette série incroyable ou s’il restera marqué par cette lecture, mais je peux dire sans l’ombre d’un doute que je n’oublierai pas la Section Némésis qui m’a conquise, séduite, a brisé mon cœur puis a su relier les morceaux pour que je me rappelle toujours de cette lecture qui m’a marqué au plus profond de moi.
Un tome final explosif
Mon dieu… je ne sais même pas par quoi commencer tellement je suis chamboulée, retournée, bouleversée ! Il y a tellement de choses à dire à propos de ce livre, et moi, je perds mes mots face à la profondeur de ce qu’il m’a fait ressentir.
On retrouve Ethan et le reste de la section avant les événements présents à la fin du tome 3. Le phénix, malgré la rancœur qui l’accompagne quand il pense à son âme sœur, ne peut empêcher l’attirance entre eux de s’imposer. Aziliz est amnésique, elle l’a oublié, lui, mais aussi tout ce qui fait partie d’elle. Mais le monde n’attend pas que le moment soit opportun pour s’effondrer, Ethan et Aziliz vont devoir affronter bien des choses pour empêcher l’apocalypse de frapper.
J’ai été tellement heureuse de retrouver la section et la plume de l’auteure ! L’humour est toujours là, et l’intrigue palpitante ! J’ai plongé dans ce livre que j’ai totalement dévoré, incapable de le lâcher, voulant tout savoir tout en étant en même temps angoissé, car je savais que ce tome sonnerait la fin cette aventure incroyable. L’intrigue reprend quelque temps avant ce que nous avons vu à la fin du tome précédent, mais cela ne cause pas de répétition, non, on apprend mieux comment nous en sommes arrivés là, certains moments ou Amy n’était pas présente, et beaucoup de choses qui nous aident à comprendre le cheminement du scénario.
Aziliz est un personnage qui m’a captivé et touché par de nombreux points. Si au début on a du mal à la découvrir surtout à cause des calmants qui permettent de garder ses pouvoirs sous contrôle, on découvre vite la complexité de cette jeune femme à la vie bien difficile. Aziliz veut vivre, elle refuse d’être simple spectatrice de sa vie et de rester enfermée dans ce corps sans pouvoir penser par elle-même. C’est plus qu’un besoin, cela devient une nécessité, et c’est ce qui va la changer par bien des côtés. Elle va devoir renouer avec son passé, mais aussi avec ses dons, et apprendre à vivre avec les séquelles que la vie lui a laissées. Je me suis énormément attaché à cette jeune femme incroyablement touchante et émouvante qui a conquis mon cœur, autant par sa douceur que par son courage.
Et puis, nous avons Ethan. S’il est le blagueur de la Section à la langue bien pendue, on va découvrir ici bien d’autres facettes de cet homme, qui vont nous faire changer notre vision des choses. On le découvre plus sombre, plus sérieux. S’il garde toujours cette touche d’humour, on apprend à découvrir l’homme derrière le masque qu’il a appris à porter. Le passé a façonné ce qu’il est devenu et sa façon de voir son âme sœur, mais aujourd’hui, voir celle-ci amnésique, n’ayant aucun souvenir de lui et ne pouvant l’approcher est une torture sans nom pour lui. Il va devoir pourtant l’aider à retrouver qui elle est, car l’enfer n’attendra pas qu’ils soient prêts pour se déchaîner sur terre. Ethan va devoir faire des choix entre accepter ce passé tragique qui les lie et pardonner Aziliz, ou continuer à nourrir cette rancœur et cette haine qui le poursuit depuis des années et fait barrage à l’amour qu’il ressent pour elle.
L’intrigue est incroyablement ficelée, amenée d’une main de maître, gérée comme un orchestre et sans aucune fausse note. Chaque détail a son importance et on découvre peu à peu où l’auteure veut nous amener, grâce aux miettes qu’elle éparpille sur le chemin de la Section. Elle nous guide à l’aveuglette sur une route qu’on ne peut qu’imaginer et dont on ignore la destination. Elle réussit une fois de plus l’exploit d’innover, car il n’y a rien de commun ici avec les tomes précédents, ni avec rien d’autre de ce que j’ai pu lire dans ce style ! Charlie Genet nous envoûte et nous capture avec ce scénario fascinant qui nous rend incapables de décrocher. On devient prisonnier de ce livre fabuleux dont l’intensité ne fait qu’augmenter au fil des pages ! L’émotion m’a submergé et chamboulé pendant toute ma lecture, et il me serait impossible de compter le nombre de larmes versées !
En conclusion, ce livre est un diamant d’une beauté aussi époustouflante que bouleversante, un joyau du genre. L’auteure nous malmène autant que ses personnages et nous suivons le rythme impitoyable du courant qui nous ballotte dans une mer déchaînée. Les personnages m’ont émue, touchée, ont rendu mon cœur captif de leurs destinées. Un dernier tome qui amène cette série à son sommet pour nous faire décoller et observer le final explosif que l’auteure a su donner à un univers d’une puissance phénoménale. Je ne sais dire si mon cœur se remettra de la fin de cette série incroyable ou s’il restera marqué par cette lecture, mais je peux dire sans l’ombre d’un doute que je n’oublierai pas la Section Némésis qui m’a conquise, séduite, a brisé mon cœur puis a su relier les morceaux pour que je me rappelle toujours de cette lecture qui m’a marqué au plus profond de moi.