" Pas de boissons enivrantes, du thé. Pour qui veut jouir de la vie, c'est une faute ici que de se griser. Mais voir, écouter, sentir, voilà la véritable...
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" Pas de boissons enivrantes, du thé. Pour qui veut jouir de la vie, c'est une faute ici que de se griser. Mais voir, écouter, sentir, voilà la véritable ivresse. " Georges Cassel livre dans Singapour un portrait de l'île- cité, de son effervescence cosmopolite et de sa sensualité tropicale. Un texte d'une frappante actualité, à propos duquel Paul Léautaud notait dans son journal le 20 décembre 1905 : " J'ai lu hier des pages sur Singapour par un M. Cassel qui sont extraordinairement bien. "