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Un jour enfin l'accès/ on quitte le jardin/ savamment agencé/ aux allées bien tracées/ on pénètre dans la forêt,/ on avance dans l'inconnu/ d'un espace non quadrillé, sans ordre,/ jusqu'à ce que voix et vent se confondent/ et qu'une vie insoupçonnée jaillisse/ au milieu de soi, au centre d'une foret/ où tout reste fidèle à l'impulsion première,/ l'arbre qui pousse ses rameaux,/ la digitale inclinant sur l'espace/ le salut pourpre de sa grappe,/ la source et son rêve de mer.