Dans Un « vilain rouge » dans le Sud de la France, Manolo Valiente raconte comment, après avoir franchi la frontière, blessé, il se retrouve dans...
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Dans Un « vilain rouge » dans le Sud de la France, Manolo Valiente raconte comment, après avoir franchi la frontière, blessé, il se retrouve dans divers hôpitaux puis dans les camps d'Argelès et du Barcarès. Il ne sera libéré qu'en novembre 1942 après un long séjour dans un paysage de baraques alignées et de plages battues par la tramontane. C'est là qu'il écrit Arena y viento (Segundo libro), une poésie lyrique, tour à tour tragique, émouvante, gravé, humoristique quelquefois, où il dit sa souffrance d'exilé et son espoir en l'homme.