Jean-Gaspard Perrier nous livre ici la suite du Petiou. Mais alors que le récit de ce dernier nous confrontait à la vieille société rurale, ses souvenirs de La Villette, pardon de Notre-Dame de La Villette nous ramènent aux anciennes mœurs des pensionnats et des collèges (...). (...) Que des décennies après un homme se penche sur la vie d'un collège dont les formes ont irrémédiablement disparu n'est pas la moindre des merveilles de l'effet suscité autrefois par celui-ci sur un gamin naturellement " pas malin " (...) (...) Le passé est bien mort, mais le présent est bien là. Le souvenir de ce petit monde clos de La Villette de l'Entre-deux-guerres a tout le charme des vieilles photographies (...) André Palluel-Guillard.