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Des longueurs et un manque de punch pour ce polar
Il y a d'abord Caroline, endeuillée par le suicide de son fils, assistante de Clare, la victime.
Difficile de savoir si Caroline est une maman anéantie par le deuil, une fine manipulatrice, une mère possessive ou une victime de la vie.
Il y a aussi la sergente Barbara, toujours sous la surveillance de sa supérieure qui espère bien arriver à obtenir une présentation vestimentaire correcte de son agente.
Grâce à son collègue Linley, c'est à Barbara que va être confiée l'enquête.
On va surtout suivre cette famille, menée de main de maître par Caroline, une mythomane de première. Avec un Charlie qui a du mal à se remettre de la mort de son jeune frère et qui n'accepte pas le départ d'une épouse épuisée par une absence totale de relation dans leur couple. Avec Alastair, un mari fatigué d'une Caroline fatigante et qui va voir si l'herbe est plus verte dans le pré d'à côté.
Un sacré exploit pour Barbara d'arriver à démêler tous les fils pour relier tous ces personnages et aboutir au meurtrier de Clare.
Elisabeth George, je connais, j'ai déjà lu plusieurs de ses romans.
Mais avec celui-ci j'ai eu toutes les peines du monde à aller jusqu'au bout.
Des personnalités survolées qui font qu'on intègre mal les personnages à sa lecture.
Une longueur languissante.
Pas de punch, pas de suspense pour nous accrocher.
J'ai eu du mal à entrer dans ce polar, et ... à y rester.