" L'imprécision du cadre convient à un roman qui déroule en une nuit ses visions d'espoirs manqués, de luttes de factions, lente dissolution de la...
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" L'imprécision du cadre convient à un roman qui déroule en une nuit ses visions d'espoirs manqués, de luttes de factions, lente dissolution de la " vie brève ", chaque homme gisant sans rien retenir en partage. Sauf la peur ; tout : âme, paix, convictions est ressenti comme " divisé " du corps. Une nuit de chien, sans doute un des meilleurs livre de Juan Carlos Onetti, célèbre la sinistre assomption de l'angoisse. Et l'échec de la raison, et de toute raison de vivre. " Claude-Michel Cluny, Le Figaro littéraire, 1987