Un livre, c'est le faire. Cette action doit toujours commencer car c'est commencer qui fait qu'on supporte, qu'on n'est pas seulement une tombe du vécu....
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Un livre, c'est le faire. Cette action doit toujours commencer car c'est commencer qui fait qu'on supporte, qu'on n'est pas seulement une tombe du vécu. Ouverture du livre : " Je suis remplie de choses à oublier ". Et sa clôture le rappelle : " Dans le bec d'une tourterelle vole un nid en construction ". Mais le livre est-il vivre ? Ainsi les mots ne savent pas être des choses, résistent ! Isabelle Pinçon tente bien d'en vendre, d'en découper comme viande, mais " le dernier morceau (.