François Aubin a commencé sa carrière en gribouillant sur les murs de sa chambre. En grandissant, il s'est attaqué aux murs du salon puis à ceux de la cuisine et, pour finir, au moment de l'adolescence, par ceux des toilettes. Ses parents normands (ceci n'ayant strictement aucun rapport avec cela), qui n'avaient plus de mur à lui proposer, l'envoyèrent aux Beaux-Arts où il continua à gribouiller sur tous les supports qui se présentaient à lui.
Devenu adulte (enfin), il rencontra des professionnels de la gribouille (L'Ecole des Loisirs, La Joie de Lire, Circonflexe) qui lui proposèrent de gribouiller sur des feuilles blanches que l'on pouvait relier entre elles par un système de ficelle et de colle. C'est simple, mais il fallait y penser. C'est ainsi que François Aubin ne gribouille plus sur les murs depuis quelques années déjà sauf à vouloir faire son intéressant.
Olivier Bardy a commencé sa carrière en scribouillant sur les murs de sa chambre. En grandissant, il s'est attaqué aux murs du salon puis à ceux de la cuisine et, pour finir, au moment de l'adolescence, par ceux des toilettes. Ses parents aveyronnais (ceci n'ayant strictement aucun rapport avec cela), qui n'avaient plus de mur à lui proposer, l'envoyèrent en faculté où il continua à scribouiller sur tous les supports qui se présentaient à lui.
Devenu adulte (enfin), il rencontra François Aubin qui lui proposa de scribouiller sur des feuilles blanches que l'on pouvait relier entre elles par un système de ficelle et de colle. C'est simple, mais il fallait y penser. C'est ainsi que Olivier Bardy ne scribouille plus sur les murs depuis quelques années déjà sauf pour compléter sa liste de course.