Jan de Weck, l'oeil noir et le visage grognon, déambule d'Anvers (où il travaille) au Caillou-qui-bique (où il se repose) en passant par Paris (où...
Lire la suite
Jan de Weck, l'oeil noir et le visage grognon, déambule d'Anvers (où il travaille) au Caillou-qui-bique (où il se repose) en passant par Paris (où il a des amis), à la recherche d'une parole vraie (on voit qu'il est un peu nigaud.) A force de la chercher, c'est la vérité qui le trouve. La chronique vire à l'exercice, approche l'essai ; Jan de Weck s'avance du côté de la poésie, qui l'attrape. Tel est pris qui croyait prendre.