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Déjà dans grosse victime magazine, il y a grosz et team, on est de la team grosz, Bien sûr. On les aime les vieux Allemands, Otto Dix, George, comme des frères. On hisse leur pavillon, perdu devant le store d'un restaurant turc. On roule des cendres de fée dans du PQ. On rajoute des accoudoirs à l'univers, on suce des exoplanètes, on est peut-être même un peu gay. On écoute de l'art brut, violent et on s'arrache les oreilles en pleurant, on lacère le pi plein de pu, rien n'est bon, le chocolat chaud c'est du Nesquik.
La punition des oracles, c'est faire remonter quelques tortues malades des catacombes pour qu'elles nous construisent des bunkers et des maisons en paille. Ici c'est Paris, ça s'épelle "T'es trop jeune et trop con" ou "t'aurais pas dû fumer tant de crack" . Le pouvoir des mots parlons-en. Radoter dans des pots de yaourts au bout d'une ficelle, par des bouches au lèvres peintes au sang, qui cachent des cerveaux diagnostiqués positifs au polystyrène, attends peut-être dans la chambre froide que la mafia soit sympa.
On montre le monde du côté de ce qui se passe dans les chiottes, dans les lits à cafards, kouffars on est des athées de chez Gaumont-Pathé car dada, des démons de jésus avec des couronnes de chaines de vélo.